projets

Saraghine
Collectif Co-Mo
Tropical house
Les Artisans Lao 
T’shop Lai Gallery
Isle du mékong
ferme biologique Panya Nivej
Théâtre national de l’Odéon
Collectif Curry Vavart
Collectif Curry Vavart
Collectif Curry Vavart
post-master ENSAPB
“L’architecture est un prétexte”
Collectif Les Saprophytes
“La peau de verre”


photographie
illustration

bénévolat


savoir-faire

création et conception architecture, scénographie,
design graphique, photographie, illustration, écriture

coordination
montage et suivi de projet financier, administratif et logistique,
gestion d’équipe

animation
ateliers artistiques pour enfants et adultes, co-conception et chantiers participatifs






la main gauche


À travers la pratique de l’espace vivant, de l’illustration et de la photographie, la main gauche souhaite explorer les imaginaires en ayant les pieds dans le sol et la main tendue.

La rencontre, l’observation puis l’exploration permettent de découvrir les potentiels et de penser l’acte de construire comme un acte partagé afin d’imaginer, dessiner et faire ensemble.

Curiosité, économie de matière et profusion d’idées sont les maîtres mots.


    Inès Jammes
    architecte diplomée d’état
    à Pau, dans le 64
    jammes.archi@gmail.com 





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   bienvenue à la main gauche

2020 juin
 Diplôme d’état d’architecte   “L’architecture est un prétexte”
           mention très bien

 Lille, France
. architecture 


Le projet commence par une démarche de vérification d’une situation réelle en opposition aux images stigmatisantes de la figure de la cité minière aujourd’hui. « Inactifs » « chômeurs » « assistés », que se passe t-il en réalité derrière ces mots et les chiffres du chômage d’une population condamnée à l’invisibilité? Le projet souhaite légitimer la culture minière en reconnaissant ses qualités patrimoniales fondamentales (qu’elles soient formelles avec des formes d’architectures spontanées, comme informelles avec des savoir-faire hérités) afin d’en assurer sa transmission pour les générations futures.

“Que font ces gens dont on dit qu’ils ne font rien? ”

Comment les activités d’auto-production et d’auto-construction prennent-elles place dans la morphologie urbaine des cités? Quels lieux de sociabilité, d’interactions ces attitudes créent-elles? Le projet veille à concevoir un processus de ré-appropriation par des étapes clefs: la légitimisation et la revendication des savoir-faire habitants, l’accompagnement de l’habitant à devenir acteur de cette transformation (autant politique que constructive) par la mise en place d’outils de décision, de conception et de construction. Un processus horizontal où habitants, architectes, experts et acteurs politiques se rencontrent et créent la ville ensemble.

Projet en recherche-action avec la chaire partenariale « Acclimater les territoires post-miniers » et sous la direction de Béatrice Mariolle.

204 pages _ lisez le ici